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HARCELEMENT MORAL DANS LA FAMILLE
Ils ont l'air sympa et bien sous tous rapports, mais c'est votre enfant que le Papy tient dans ses bras...
Que faire face à l’acharnement d’un clan familial composé presque exclusivement de pervers narcissiques et dont vous êtes la victime et le souffre-douleur ?
Dans la famille, le harcèlement moral peut prendre plusieurs formes toutes aussi perverses. Il peut aller jusqu’à la violence sexuelle exercée par le manipulateur en chef de la famille toxique et dysfonctionnelle.
Le harcèlement judiciaire qui utilise de façon perverse la loi sur le droit de visite des grands-parents est le plus souvent employé par les pervers manipulateurs familiaux pour capter vos enfants afin de leur faire subir des maltraitances.
Tous ces exemples de harcèlement et de violences dans la famille sont issus d’histoires vécues que Sophie Soria-Glo a traitées et dont elle a aidé les victimes adultes.
En voila le décodage.
Techniques de harcèlement moral et de violences dans la famille de votre conjoint pervers narcissique manipulateur :
- Maltraitances et violences y compris sexuelles sur votre ou vos enfants lors des visites chez les grands-parents pendant les vacances et accusations de folie à votre encontre si vous dénoncez ces actes en portant plainte.
- Faux témoignages du clan familial contre vous lors de votre divorce avec leur fils pervers narcissique que tout le clan soutient.
- Harcèlement judiciaire pour vous voler la garde de vos enfants voire les faire placer en foyer de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance, ex DDASS) juste pour vous nuire. La famille du conjoint pervers effectue une alliance stratégique avec lui contre vous.
Techniques de harcèlement moral et de violences dans la famille de votre conjoint aimant qui n’est pas un pervers :
- Acharnement du beau-père ou de la belle-mère qui ne supporte pas votre mariage avec son fils préféré ayant voulu couper les ponts avec sa famille mais ne parvenant pas à les tenir à distance.
- Vous avez été repérée par le chef de clan de la famille tribale et pervers narcissique de votre conjoint : il est toujours après vous, il essaie d’obtenir des relations sexuelles, il fait du chantage si vous refusez.
- Climat incestuel avec fonctionnement clanique et tribal dans la famille de votre conjoint : on se mêle de tout, tout le monde est au courant de votre vie intime, la famille prend des décisions à votre place au sujet de l’éducation de vos enfants, on essaie de s’immiscer dans votre couple et de provoquer le divorce, on monte votre conjoint et vos enfants contre vous.
"Ce gentil Papy aime tellement sa petite fille... ça se voit"
pensent les voisins qui le rencontrent au parc.
Mais le grand-père pédophile est un cas classique
dans les familles de pervers.
Techniques de harcèlement moral et de violences dans votre propre famille :
- La prévention des situations de maltraitances, de violences physiques et morales voire d’inceste : éviter la répétition sur la génération suivante.
Vous avez coupé les ponts avec vos parents suite à des violences que vous avez subies enfant. Votre famille fait une procédure pour avoir le droit de voir et de fréquenter vos enfants, en jouant la comédie des gentils Papy et Mamie devant la Justice. Le but n’est pas bien entendu de gâter vos enfants mais de vous faire payer le fait d’avoir brisé le lien. Et si les Papy et Mamie gagnent la procédure, ils pourront s’en prendre à vos enfants. Le gentil Papy merveilleux aux yeux des autres est en effet un pervers pédophile depuis toujours. Son but est clair : avoir de la chair fraîche sous la main pour assouvir ses pulsions. La Mamie dans ce cas peut être naïve ou être complice des actes du vieux pervers auxquels elle participe.
- Un pervers manipulateur familial s’en prend à vos enfants : vous découvrez par la parole de vos enfants qu’ils ont subi des violences sexuelles et/ou morales de la part de votre père, de votre mère ou d’un autre membre de la famille. Il peut s’agir du clan familial élargi et même d’un ami de la famille qui fait le baby-sitter bénévole en organisant des activités et jeux pour les enfants en groupe ou en individuel. Si le pervers est un membre de la famille, cela signifie que votre famille est déjà impliquée dans l’inceste depuis plusieurs générations. Ou bien il peut s’agir du cas où votre famille a été infiltrée de façon malveillante par un pédophile dans un but bien précis : pouvoir pratiquer des attouchements sur les enfants. Voire pire. C’est une forme pernicieuse de harcèlement moral puisque le pervers agit par hypocrisie et mensonge en faisant semblant d’être votre ami pour pouvoir vous nuire en secret.
- La situation de bouc émissaire familial : vous avez été une enfant maltraitée et les pervers narcissiques familiaux ne veulent pas lâcher leur proie. Ils s’acharnent toujours contre vous. Même 20 ans après votre majorité, on continue les persécutions voire les plaintes déposées contre vous devant la Justice. On essaie de vous prendre vos enfants, de vous faire mettre en hôpital psychiatrique voire de vous jeter en prison sous des prétextes fallacieux et avec des accusations fausses. On porte atteinte à votre réputation dans votre milieu social voire professionnel par des calomnies et des mensonges. On essaie de briser votre couple alors que vous avez réussi à vous reconstruire. On met les services sociaux contre vous en inventant des accusations de maltraitances imaginaires sur vos enfants.
- Harcèlement moral et mise sous emprise d’une personne âgée — votre grand-mère par exemple — par un pervers manipulateur familial avec tentatives de placement en maison de retraite, de mise sous tutelle ou sous curatelle, dans le but de donations abusives ou de captation d’héritage.
- Situation d’inceste qui perdure à l’âge adulte : vous avez été victime de violences sexuelles quand vous étiez petite fille et vous n’avez jamais rien dit. Votre père, grand-père ou oncle etc. continue ces violences sur vous après votre majorité en exerçant son emprise par menaces et chantage.
- Relation maternelle négative : votre propre mère est jalouse de vous et vous harcèle. Elle veut prendre votre contrôle sur votre propre vie. Elle vous critique, vous rabaisse, vous dénigre, tout ça sous couvert d'amour. Elle n'a pas réalisé ses rêves et ne veut pas vous voir réaliser les vôtres. Elle ne vous a jamais soutenue, vous a maltraitée enfant et ça continue adulte. Ce cas peut aussi concerner une tante ou une cousine qui joue le rôle de matriarche du clan familial.
"A son âge, Maman pourrait avoir changé, ne plus être aussi méchante.
Mais non, au contraire, ça empire avec le temps."
Toutes ces techniques de chantage et d’abus doivent être mises en lumière et dénoncées. Il est possible de mettre fin au harcèlement des différentes sortes de pervers, manipulateurs et toxiques familiaux avec des méthodes légales s'ils n'acceptent pas que vous coupiez les ponts.
L'idéologie du maintien des liens familiaux, inscrite dans le Code Civil, sert en réalité à maintenir l'emprise toxique.
Le droit de visite des grands-parents
L’enfant qui a été mis sous emprise et/ou maltraité pendant ses jeunes années finit un jour par devenir adulte et s’il veut s’en sortir, il doit couper les ponts avec ses parents toxiques. Mais certains parents – mère, père, frère complice de la famille toxique car il s’est identifié à eux, voire sœurs dans le même cas — ne veulent pas lâcher les baskets de la principale victime de cette famille qui dysfonctionne. Si la victime s’est mariée et a eu des enfants, son bonheur insupporte le reste de sa famille qui peut vouloir le détruire.
Il peut donc arriver que les parents de la victime n’aient pas peur de voir les secrets honteux de la famille étalés au grand jour devant un Juge aux Affaires Familiales. Ils vont alors poursuivre en Justice leur victime devenue adulte pour l’obliger à leur confier ses propres enfants pendant les vacances : c’est le droit de visite des grands-parents qui est reconnu par la loi et qui est légal.
En général, ce sont les parents malades mentaux qui attaquent en premier devant la Justice car vous ne leur laissez pas voir vos enfants afin d’assurer la protection de vos petits choux.
Les grands-parents toxiques — vos parents donc — se font passer pour des victimes qui n’ont pas le droit de voir leurs chers petits-enfants bien-aimés et chéris et qui en sont « privés ».
En réalité soyons clairs ils veulent vous prendre vos enfants et avoir le droit de les maltraiter voire de les monter contre vous et ceci avec la bénédiction du juge et donc de la société.
Ils veulent être reconnus et considérés comme étant normaux, tandis que vous, vous êtes la méchante ou le méchant qui les fait souffrir. Tout est inversé, une fois de plus.
Si vous voulez protéger vos enfants de personnages affreux qui vous ont maltraité-e vous-même de diverses manières, vous devrez vous défendre face à leur requête.
Il faudra vous présenter devant le Juge aux Affaires Familiales avec un dossier solide et prouver le côté toxique de vos parents envers vous ainsi que leur mobile à vouloir absolument fréquenter vos enfants dont ils ne sont pas les grand-papa et grand-maman gâteaux qu’ils prétendent être.
Sans demande devant le juge, vous n’êtes pas du tout obligée de leur faire voir et fréquenter vos enfants ni de les leur envoyer en vacances.
D’où la requête judiciaire de vos parents qui vous poursuivront jusqu’à la fin des temps s’ils ne sont pas stoppés par une autorité supérieure : la loi.
Il ne faut pas hésiter à montrer au juge la face cachée et le côté toxique de vos parents manipulateurs pervers qui ont l’air si sympa et respectable en apparence.
Ne protégez pas des bourreaux pervers et toxiques en perpétuant le secret familial sur les abus du passé !
Leur but n’est pas seulement de persécuter les enfants mais aussi de détruire le couple par acharnement judiciaire qui se répercute dans la vie quotidienne de la victime devenue adulte et de son conjoint.
Restez bien unie avec votre conjoint et ne baissez pas les bras, ne laissez pas les manipulateurs gagner et vous détruire encore puisque vous leur avez survécu autrefois mais ils ne peuvent pas le supporter.
Dans le cas de harcèlement par la famille — parents, beaux-parents, famille élargie voire entourage de la famille, parrain et marraine, par exemple — la stratégie à mettre en place permet de pouvoir éloigner le manipulateur, seul ou en groupe et donc effectuer la mise à distance de la ou des personnes toxiques pour vous, vos enfants, votre mari, vos amis et votre vie courante, etc.
Car, si on ne choisit pas la famille où on naît, on n’est pas obligé de les fréquenter non plus.
Il n’y a aucune loi qui y oblige, bien sûr. Les parents manipulateurs pervers qui veulent votre mort et votre destruction voire qui fomentent le viol de vos enfants pendant que vous les leur laissez en garde pour les vacances scolaires, ça existe. C’est même pourquoi ils insistent tellement pour fréquenter vos enfants.
Il y a bien sûr, au niveau juridique, le droit de visite des grands-parents qui peut être obtenu par voie de justice après recours devant les tribunaux de la famille (Juge aux Affaires Familiales ou JAF).
Mais tant que ce jugement n’est pas obtenu par votre famille, rien ne vous oblige, RIEN ne vous contraint à les fréquenter et leur confier vos bambins pour un week-end ou des vacances.
Ne les laissez pas vous faire vous sentir coupable de ne pas les aimer, etc.
Si vous pensez que vos enfants sont en danger, ne les confiez pas à des membres de votre famille.
La famille du conjoint pervers manipulateur
Le cas est différent et encore plus complexe lors des divorces où le juge JAF fixe les modalités de la garde des enfants.
Votre conjoint manipulateur a le droit de les confier alors de temps en temps en garde à sa famille de manipulateurs pervers comme lui et vous ne pouvez rien faire, à part prouver au juge la dangerosité de ces gens, ce qui est toujours difficile à faire dans le huis-clos familial.
Cependant, votre ex conjoint manipulateur n’a pas le droit de se défausser sur ses parents pour vous garder vos enfants à sa place, de façon systématique, lors de ses droits de visite et d’hébergement car la loi le lui interdit.
Les méthodes légales de défense
Concernant les abus psychologiques dans les familles de pervers immatures où l’on continue à s’acharner sur l’enfant victime devenu adulte, en s’immisçant dans sa vie, dans son couple, voire en fomentant des complots contre lui/elle pour le/la faire enfermer chez les fous en hôpital psychiatrique avec la complicité des autres membres de la famille qui font tout pour perturber la victime dans le but de la faire craquer, que peut-on faire pour s’en prémunir et se défendre ?
Si vous avez des preuves – échanges de SMS, de mails, témoignages et attestations – sachez que le Code Pénal réprime ces agissements.
Ils sont considérés comme des délits selon une loi assez récente du 4 août 2014 sur le harcèlement qui dégrade les conditions de vie et l’état de santé de la personne attaquée. Cette loi est traduite dans le nouvel article 222-2-2 du Code Pénal.
Il faudra bien entendu mettre au point un argumentaire qui permettra au Procureur de vous comprendre et de ne pas classer le dossier comme pas important, et ceci pour ne pas avoir une plainte « classée sans suite ».
Après un classement de votre plainte par la Justice, la famille de toxiques a le droit de vous poursuivre pour dénonciation calomnieuse et vous pouvez finir en prison.
Ils utiliseront alors la Justice pour poursuivre leur harcèlement moral contre vous de façon définitive jusqu'à la destruction complète : cette technique s’appelle l’instrumentalisation de la Justice en faveur du pervers.
Et avec la victimisation secondaire et l'idéologie du maintien des liens familiaux qui est inscrite dans le Code Civil, vous n'êtes pas près de vous en sortir.
L’évaluation de la situation et de la stratégie judiciaire à mettre en place est donc primordiale.
Il faut en effet bien comprendre que les manipulateurs témoigneront tous ensemble contre vous devant les tribunaux. Dans le cas d’un clan pervers, les toxiques se soutiennent entre eux.
Ne restez pas seule et isolée ! Prenez un expert à vos côtés pour votre défense.
Se défendre en Justice contre un clan de pervers familiaux provoque un traumatisme car cela réactive les blessures du passé et empêche de mener une vie sereine.
Faites-vous accompagner par Sophie Soria-Glo, votre coach spécialiste, sur ce chemin semé d'embûches.
Contre les pervers manipulateurs, un avocat n'est pas suffisant. Car ces toxiques, surtout quand ils sont à plusieurs, ont une imagination sans limite pour couler et discréditer leurs victimes aux yeux de la Justice de la France.
LA LOI SUR LE DROIT DE VISITE DES GRANDS PARENTS ET DES TIERS NON-PARENTS : UNE IDÉOLOGIE NÉFASTE
Article 371-4 du Code Civil : « L'enfant a le droit d'entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. Seul l'intérêt de l'enfant peut faire obstacle à l'exercice de ce droit. Si tel est l'intérêt de l'enfant, le juge aux affaires familiales fixe les modalités des relations entre l'enfant et un tiers, parent ou non, en particulier lorsque ce tiers a résidé de manière stable avec lui et l'un de ses parents, a pourvu à son éducation, à son entretien ou à son installation, et a noué avec lui des liens affectifs durables. »
La loi date de 2007, elle a été modifiée en 2013 en l’élargissant à tout tiers qui n’a pas de lien de parenté mais seulement des liens dits « affectifs ».
La loi ne dit pas si ces liens doivent ou pas être réciproques.
Cette loi est injuste car elle permet à n’importe qui d’avoir un droit sur votre enfant au mépris de votre autorité parentale qui est ainsi bafouée. On vous infantilise, on vous oblige à obéir à votre famille et même à votre ex conjoint.
Car cette loi inscrit dans le Code Civil le droit non seulement des grands-parents mais aussi celui du beau-parent ou ex concubin ou oncle ou tante etc.
Ces autres personnes de l’entourage ont eux aussi la possibilité de réclamer un droit de visite même si l’enfant n’est pas le sien sur le plan de la filiation biologique.
C’est le concept du « tiers non parent » inscrit dans cette loi jugée dangereuse pour leurs enfants par beaucoup de parents victimes dans les familles de toxiques, pervers, manipulateurs etc.
On est en plein délire une fois de plus avec ces lois sur le maintien des liens familiaux en France.
On ne pense pas une minute à l’enfant : on maintient le droit des adultes, c’est le principe du « droit à l’enfant » comme si l’enfant était un droit, un objet, un meuble ou un patrimoine à se partager et sur qui les adultes ont un droit.
C’est une Justice paternaliste qui ne considère pas l’enfant comme un citoyen. On a le même cas dans les divorces avec un manipulateur pervers où l’enfant n’est pas protégé (voir la rubrique « Couple et divorce »).
Face à la demande de droit de visite des grands parents ou du « tiers non parent » il faudra prendre un avocat.
La procédure se passe devant le Juge aux Affaires Familiales mais peut aussi faire l’objet d’un référé en urgence où vous êtes assignée.
Tout autre tiers qui a entretenu des relations affectives avec l’enfant peut prétendre à demander ce droit, par exemple votre ex conjoint ou concubin qui n’est pas le père biologique de l’enfant car c’est une 2nde union et vous aviez déjà cet enfant avant de le rencontrer.
C’est le droit de visite du beau-parent qui a été reconnu de manière jurisprudentielle par un arrêt récent de la Cour de Cassation en juillet 2017.
La Justice peut vous imposer une enquête sociale et une expertise psychologique. Votre ou vos enfants ont le droit être entendus par le juge à votre demande.
Les grands-parents prétendront devant le juge que c’est vous qui avez un problème car vous refusez de les voir et de leur confier vos enfants.
La loi part du principe qu’il est bénéfique aux enfants de fréquenter les grands-parents. Or ce n’est pas le cas dans une famille perverse.
Les parents assignés en justice par leur famille de pervers toxiques devront mettre au point et un argumentaire afin de protéger leurs enfants. Il faudra prouver la dangerosité des grands-parents ou de tout autre personnage extérieur qui assigne : tante, oncle, ex conjoint etc.
Il est très important d’avoir une véritable stratégie et de prouver les violences subies afin de stopper les velléités harceleuses du ou des pervers familiaux qui sont bien entendu des procéduriers acharnés comme toujours.
Vous aurez à vous battre contre un argumentaire bien rôdé puisqu’il existe des associations de défense des droits des grands-parents qui ont mis en place des stratégies judiciaires très efficaces pour vous prendre en défaut, sur le mode des associations du droit des pères.
La Justice ou la partie adverse peut vous imposer une médiation familiale qu’il ne sera pas dans votre intérêt d’accepter puisque les grands-parents pervers ou l’ex conjoint toxique vont jouer les pauvres victimes éplorées et parvenir à mettre le médiateur de leur côté.
Sachez bien que le plus souvent avant d’entamer la procédure, les grands-parents pervers vont vous faire subir des menaces, du chantage et divers types de harcèlement moral dont il faudra rassembler les preuves pour vous défendre.
A moins que vous ne préfériez attaquer en premier devant les tribunaux : en effet avec un pervers il ne faut jamais être en posture de défense et de justification.
Parfois il peut s’avérer plus intelligent et plus efficace d’attaquer en premier si on a des preuves.
Il n’y a pas de « recette miracle » qui fonctionne partout et pour tous de la même façon.
Pour trouver une stratégie efficace il faut d’abord faire l’analyse de la situation, méthode dont Sophie Soria-Glo est spécialiste.
Car dans le domaine de la famille comme dans celui du couple, la victimisation secondaire par les tribunaux et le système social existent aussi.
"Issue d'une famille dysfonctionnelle,
j'ai 3 frères aînés , un père absent trouvant la fuite dans son travail et une mère totalement perverse et manipulatrice qui a passé son temps de façon continue à me pourrir la vie de toutes les façons possibles.
Aux yeux des voisins, nous la famille avions réussi.
Enfance en crise, adolescence chaotique ne réalisant pas a l'époque que mes divers symptômes (troubles psy, anorexie mentale, addictions, dépressions en continu avec de nombreuses tentatives de suicide) découlaient de son comportement malveillant envers moi.
Son attitude depuis toujours était:
Chantages en tous genre, menaces, intimidations, dénigrement constant, mensonges, violence verbale, actes de sabotages malveillants dès qu'une bonne chose pouvait m'arriver dans la vie et me la faire enlever.
Nous diviser tous pour mieux régner.
Afin que personne ne me défende, elle avait réussi a miner le terrain grâce a un tas d'accusations frauduleuses et mensongères ( ma fille est une ingrate, une garce, pourrie gâtée, sale, voleuse, faignante etc. ...) qui mène la vie dure a sa pauvre mère...
L'entourage ne comprenait rien de ce qui se passait dans l'intimité car eux-mêmes manipulés, elle donnait l'image de " la mère courage" qui " fait tout pour ses enfants" moi je dirais : oui c'est vrai, mais en démolition.
Et qui pourrai penser qu’une mère puisse volontairement mentir sur sa fille afin de la décrédibiliser pour mieux la faire payer? J'ai supporté pendant des décennies les conséquences de ses mensonges car régulièrement elle instrumentalisait les autres pour m'en mettre « plein la gueule » !
Sous son emprise, elle m'isolait de tous le monde. Me rendait malade par ses contradictions. Ce qui était bien un jour, devenait le contraire 3 jours après.
Il m'a fallu attendre la naissance de mon fils pour comprendre a quel point cette femme me haïssait et surtout qu'elle ne changerait jamais. Je comprenais aussi que mon garçon serait la prochaine victime. C'était aussi une question de vie et de mort pour moi.
Je me suis mariée à 29 ans, mais c'était surtout pour la fuir et la tenir a distance. Finalement je prenais toujours mes décisions en fonctions d'elle et des futures conséquences. Tellement intrusive que j'avais souvent l'impression de faire couple à trois.
J'avais beau être mère, mariée, elle continuait a m'engueuler devant eux, je me sentais honteuse a l’état d'une petite fille.
Par la suite il a fallu que je réalise que pour lui échapper, j'avais malheureusement épousé un autre Pervers Narcissique.
Etant habituée aux maltraitances de la part du clan familial, il ne m'a pas paru évident que je me dirigeais dans un autre gouffre.
Au bout de 6 ans de mensonges avec lui, je décide de divorcer.
Mon ex et ma génitrice jusque là, s'étaient mutuellement méprisés, voir détestés.
A la même période, je coupe les ponts avec elle aussi. J'avais décidé de faire le grand ménage avec mes toxiques, je voulais aussi me prouver à moi-même que j'étais tout a fais capable de m'assumer et d'être indépendante.
De la, une vraie guerre atomique comme je ne l'avais jamais encore vécu, se déclare contre moi.
Cette fois, ce n’était pas 1 seul Pervers Narcissique mais bien 2 que j'allais devoir affronter, car du jour au lendemain ils avaient décidé de faire alliance contre moi.
De là Madame se met à porter plainte contre moi pour diverses fausses raisons, aidée par Monsieur elle tente de me faire enfermer en psychiatrie. Elle a littéralement harcelé toutes les institutions avec son lot de dénigrements et d'insultes envers ma personne pour que l'on me retire mon fils.
Sa rage s'est décuplée à partir du moment où je me suis retrouvée seule et isolée avec lui.
Comme mon mari était soutenu par Madame, il s'est mis a son tour à me faire subir des violences physiques ajoutées a celles qui justifiaient déjà à l’époque ma demande de divorce pour les violences psychologiques.
Ce qui était terrible pour moi, fut de comprendre qu'elle voulait réellement de façon très ouverte me pousser au suicide. Lui ne voulant pas quitter le domicile, m'attaquait de l’intérieur. Elle, elle s'occupait de me démolir depuis l’extérieur.
Ils complotaient sans réellement se cacher finalement...
C'est à partir de là que j'ai rencontré Sophie grâce a son association d'aide aux victimes et je me suis rendue à une de ses réunions pour lui exposer ma situation.
Je cherchais désespérément de l'aide, car, qui allait me croire finalement, tellement ce que je vivais était surréaliste ? Et même si on me croyait, qui allait réellement m'aider ?
C'était en 2014 et elle me suit toujours à ce jour puisque je suis toujours en procédure.
Elle n'est pas seulement une professionnelle qui connait bien son sujet, c'est aussi une personne qui s'implique humainement et comprend peut être mieux que vous même ce qui vous arrive.
C'est peut être la première fois que je rencontre une personne qui prenait à sa juste mesure la gravité de ma situation et surtout et c'est le plus important, qui s'implique."
Anne, 38 ans, agent administratif, Ile-de-France