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Stopper le harcèlement judiciaire du conjoint manipulateur

Stopper le harcèlement judiciaire : leconjoint pervesr utilise la loi pour détruire la victime

Comment échapper au harcèlement judiciaire par « victim blaming » de l’agresseur conjugal ?

 

Le « victim blaming » (accuser la victime) est une technique immorale employée par le manipulateur pervers narcissique devant les tribunaux. Cette technique permet à la violence de se perpétuer par voie institutionnelle sur la victime puisque personne ne la soutient.

 

Tout le monde croit aux thèses de l’agresseur qui construit un "mythe" , comme une caricature autour de la personnalité de sa victime. 

 

Les jugements des tribunaux vont alors se retourner contre la victime et contre ses enfants. C’est ainsi que peut se mettre en place un mécanisme de harcèlement judiciaire par procédures abusives de l’agresseur dont le but est simple : prendre les enfants à leur mère pour la faire souffrir plus encore, les maltraiter et les avoir pour victimes.

 

Comment échapper à ce harcèlement par voie de Justice et pouvoir vaincre un manipulateur de couple devant un tribunal ? C’est tout l’objet de ce site !

 

La méthode de Sophie Soria-Glo est avant tout empirique, basée sur des années d’observations des arguments des manipulateurs devant les tribunaux.

 

Formée en Droit, en Sociologie et en « Analyse du discours politique » lors de ses études en Administration Economique et Sociale à la Sorbonne dans les années 1980, Sophie Soria-Glo a étudié longuement avec ces méthodes les éléments de langage et l’argumentaire des manipulateurs  et de leurs avocats lors des procédures de séparation des couples avec les enjeux de garde des enfants.

 

C’est ainsi qu’elle a mis au point sa méthode de défense par arguments anti-manipulateurs.

 

Une méthode que pas un avocat ne peut faire car il faut se consacrer entièrement à la victime et passer un énorme temps avec elle pour pouvoir contrer les arguments toxiques développés contre elle par un pervers dont la perfidie n’a pas de limites.

 

C’est à cela que sert le coaching car avec un manipulateur un avocat ne suffit pas.

 

Le but est de démasquer le manipulateur, de montrer les techniques de justification de l’agresseur afin d’éclairer les juges de la Famille et de l’Enfance, mais aussi au pénal, lors des procès dans les tribunaux ainsi qu’au moment où la victime porte plainte contre le bourreau de couple qui harcèle et maltraite aussi les enfants.

 

En effet, l’expérience montre que si la victime se justifie face aux accusations de l’agresseur contre elle, elle va s’enfoncer encore plus. On ne se défend pas sur le fond mais on démasque le processus manipulatoire devant le tribunal ainsi qu’avec l’avocat de la victime, aidé ainsi par le coach à gagner son procès.

 

C’est ainsi qu’on stoppe le harcèlement judiciaire exercé par le manipulateur contre vous : on le démasque une bonne fois pour toutes et c’est définitif.  C’est à cela que sert la méthode « anti- PN » de Sophie Soria-Glo.

Une fois le manipulateur débouté en Justice, il arrête d'embêter la victime et de nuire à la société en encombrant les tribunaux avec sa petite vengeance personnelle, ses problèmes d'ego surdimensionné et son avarice chronique à ne pas payer ce qu'il doit aux autres. 

 

Il se trouve que les arguments sexistes des hommes coupables de violences envers les femmes ont été aussi mis en lumière par des chercheurs québécois.

 

Ce groupe de chercheurs confirme les observations de Sophie Soria-Glo  et ses analyses anti-manipulateurs au contact des victimes sur le terrain depuis 10 ans. 

 

Le Processus de la Domination Conjugale (PDC) a été mis au jour par ce groupe de recherches au Québec (Canada) en 2007.

 

Les chercheurs expliquent que le PDC est un processus de justification et de légitimation de l’agresseur : les actes du manipulateur violent sont intentionnels et basés sur une stratégie consciente.

L'homme toxique et pervers n'est pas "dans le déni" de ses actions. Il sait très bien ce qu'il fait. Son intention est malveillante.

 

Et il a une technique pour s'en sortir : cette technique a été étudiée par des spécialistes. C'est le PDC. 

 

Ce processus PDC permet au conjoint abusif de justifier ses actes d’agression conjugale afin de pouvoir continuer en toute impunité.

 

Son objectif :

- conserver le contrôle sur la victime,

- préserver sa propre estime de soi,

- influencer l’entourage, les tribunaux et les services sociaux afin que tout le monde blâme la victime et lui retire ses droits.

 

Selon ces chercheurs du Québec, les Réseaux de Protection Sociale ou RPS sont composés par :

- l’entourage de l’agresseur et de la victime (famille, amis),

- les structures chargées du problème (tribunaux, services sociaux)

- et les  institutions (lois, règlements).

 

Si le conjoint abusif parvient à instaurer son influence toxique sur l’ensemble des RPS à la fois, la victime est complètement isolée.

 

Même les jugements des tribunaux se mettront du côté du conjoint abusif, bien qu’il exerce de la violence morale, affective, économique, sexuelle voire physique contre la femme.

 

On lui trouvera de bonnes raisons et la Justice sanctionnera la femme victime au lieu de punir l’agresseur.

 

C’est la situation qui se passe depuis des années dans les tribunaux de France.

 

« La justification est émise par un individu dominant et correspond, au même titre que l’acte qui la précède, à une stratégie de contrôle qui vise l’obtention d’un gain  » précise le rapport de ces chercheurs canadiens.

 

« La justification chez le dominant vise à recadrer une situation d’abus de pouvoir pour lui conférer un sens acceptable et réfuter ainsi l’idée même de faute ou de culpabilité » poursuit le rapport.

 

Ce rapport officiel issu du Québec explique que le conjoint violent utilise diverses stratégies de contrôle ainsi que des tactiques de diversion : accuser la victime,  prétendre qu’elle n’est pas parfaite, qu’elle ne se conduit pas épouse modèle et en mère idéale etc.

 

Le conjoint violent va justifier ses actes  en inversant les responsabilités.  Le comportement de l’homme est la faute de la femme victime. Elle en est la responsable. Et l’homme ne va pas se gêner pour l’accuser devant les tribunaux ainsi que face à l’entourage familial et amical.

 

La Justice en France est mal informée de ces stratégies et de ce genre de tactiques. Elle  va relayer le discours du manipulateur dans ses jugements et ses méthodes : « Les réseaux de protection sociale peuvent intervenir directement, en alliance avec le dominant, pour amener la victime à normaliser l’abus de pouvoir » explique le rapport.

 

C’est pourquoi il est très important de trouver et de démonter la stratégie du conjoint manipulateur afin de l’empêcher de convaincre la Justice contre vous avec un argumentaire fallacieux  et toxique.

 

La République doit protéger la femme victime et les enfants sur lesquels le manipulateur se vengera après le divorce ou la séparation si la Justice se laisse enfumer par son argumentaire.

 

Avec sa méthode d'analyse du discours et des éléments de langage, Sophie Soria-Glo ne lutte pas seulement contre des injustices faites aux femmes et enfants victimes. Elle accomplit aussi un geste citoyen.

 

Stopper l'instrumentalisation de la Justice par les manipulateurs pervers peut permettre d'améliorer le fonctionnement réel et la mission démocratique des tribunaux français : protéger l'honnête citoyen et l'ensemble de la société  contre les délinquants et les criminels. 

Au lieu de leur dérouler le tapis rouge en croyant tous leurs mensonges...

Le Processus de la domination conjugale (PDC)

Analyse et synthèse du rapport de recherches canadien

Source : Rapport de recherche « La légitimité du pouvoir chez les conjoints dominants : une étude exploratoire des stratégies de justification du modèle du Processus de Domination Conjugale (PDC) », par L’Accord Mauricie Inc., Centre d’aide pour les conjoints à comportement violent ou contrôlant, 2004-2006. Ce projet de recherche  publié en 2007 a été réalisé dans le cadre du programme de subvention en santé publique, Direction de santé publique de la Mauricie et du Centre-du-Québec. "Les termes dominant, dominée et victime sont sexués puisque le modèle du PDC a été élaboré à partir de l’observation terrain de victimes féminines et de dominants masculins."

 

Sophie Soria-Glo a lu attentivement ce rapport de 75 pages qui recoupe ses propres observations depuis plus de 10 ans auprès des femmes victimes de conjoints ou ex conjoints manipulateurs et parfois violents. 

Le PDC repose sur 2 mécanismes :

 

1- l’alliance du conjoint avec la Justice et les services sociaux voire la famille de la victime, ce que l’on appelle les réseaux de protection sociale ou RPS en abrégé.

 

2- le type d’argumentaire employé par le conjoint agresseur pour parvenir à ce but. De cette façon, la victime n’est plus crédible et elle se trouve dans l’impossibilité d’assurer sa défense en Justice, devant sa propre famille et son entourage.

Il est très important de décortiquer ce mécanisme dans chaque dossier judiciaire afin de permettre à la victime de s’en sortir avec un bon argumentaire de défense.

 

 

Utiliser le PDC en tant que grille de décodage servira à démasquer le manipulateur devant les tribunaux  et à metrre fin à son acharnement. 

 

 

L’alliance du conjoint dominateur avec les réseaux de protection sociale (RPS) a pour but de discréditer la victime et de donner raison à l’agresseur.

 

 

Si cette alliance se produit, elle va être la source de la victimisation secondaire (Voir page "Victimisation secondaire" de ce site).

 

 

L’agresseur va utiliser tout un mécanisme de justifications pour légitimer la violence qu’il exerce, la nier ou la minimiser.

 

 

Ces mécanismes ne sont que de la manipulation. On les retrouve dans certaines décisions de Justice où le magistrat a nettement pris parti en faveur de l’agresseur car il a accepté les arguments du maniplulateur comme s’ils étaient véridiques.

 

 

Le magistrat aux Affaires Familiales ne voit pas la manipulation dans les arguments présentés par le conjoint pervers.

 

 

On retrouve aussi le même principe destructeur dans les rapports des services sociaux et dans certaines expertises médico-psychologiques où les arguments de l’agresseur contre la victime sont repris mot pour mot.

On croirait lire les conclusions de l’avocat de l’agresseur en Copier / Coller et non pas une décision de Justice ou un rapport d’expert placé sur un plan objectif en tenant compte des pièces et des preuves présentées par la mère victime.

 

 

Tous les acteurs de l’aide aux victimes de la violence conjugale devraient être formés à détecter le mécanisme destructeur du PDC avec ses arguments manipulatoires, sexistes, de bas étage et de mauvaise foi.

 

 

Il est important de pouvoir démonter les arguments de l’agresseur et pour cela il faut les connaitre, les analyser point par point.

 

 

Dans la mesure où le PDC est un processus standardisé, des arguments similaires sont employés par tous les conjoints violents et manipulateurs dans toutes les procédures en Justice (conclusions d’avocats du pervers), les rencontres avec les experts judiciaires (psys, enquêteurs sociaux) ainsi qu’auprès de l’enourage de la victime (famille, amis, collègues…).

 

 

Si la victime n’est pas préparée, elle va prendre un coup sur la tête et parfois elle ne s’en remettra pas sur le plan judiciaire.

 

 

Il faut démasquer le manipulateur pervers devant les tribunaux et l’entourage avec la méthode que Sophie Soria-Glo a mise au point.

 

 

Ainsi, il sera possible de permettre aux juges de prendre les décisions qui s’imposent pour protéger la femme et les enfants face à ce mécanisme toxique : l’alliance entre le manipulateur et les institutions supposées protéger la victime car c’est leur travail.

Quand le manipulateur est démasqué, son acharnement judiciaire prend fin parce que sa méthode ne fonctionne plus. 

 

 

Voici l’analyse des chercheurs du Québec sur l’ensemble du procédé qu’emploient les manipulateurs, pas seulement au sein du couple mais aussi dans les entreprises et le milieu familial.

On peut en effet retrouver le même style d'accusations destinées à discréditer la femme victime dans les situations de harcèlement moral et de harcèlement sexuel au travail, de violences sexuelles et de viol. 

Ce sont les arguments types des agresseurs de femmes. Des arguments sexistes où l'homme n'est JAMAIS responsable de la violence exercée. 

 

 

L’alliance du manipulateur avec les institutions supposées protéger la victime

 

 

EXTRAITS DU RAPPORT DE RECHERCHES QUEBECOIS

 

 

« L’analyse d’une situation de domination conjugale ne peut exclure le contexte social et culturel. Bien que vécus dans le privé, les enjeux d’un PDC (Processus de la Domination Conjugale) se jouent également sur le plan collectif. Le type de socialisation favorisant la victimisation et la dominance et le positionnement des réseaux de protection sociale (RPS) face à la domination conjugale, influencent fortement l’évolution d’une relation de pouvoir (Bouchard et Tremblay, 2002).

 

 

Les RPS constituent l’ensemble des individus présents dans l’entourage du dominant et de la dominée qui interagissent directement ou indirectement avec eux. Ils se subdivisent en trois sous-groupes :

 

a. Les réseaux immédiats, constitués des individus formant le lieu d’insertion du couple (famille, voisinage, amis, confrères de travail, etc.).

 

b. Les réseaux secondaires, formés des individus oeuvrant dans des réseaux d’aide institutionnelle, communautaire, privée, etc.

 

c. Les réseaux tertiaires, représentent les structures économiques et sociales, législations, politiques ou règlements, etc.

 

 

 

Le dominant peut choisir de s’allier aux réseaux de protection sociale dans la mesure où il perçoit qu’il peut ainsi stabiliser sa position dominante.

 

 

Le dominant peut être contraint de faire face aux réseaux de contrôle social et tenter de s’allier à eux pour éviter des conséquences.

 

 

Le dominant ajustera ses stratégies de légitimation en tenant compte de la fonction exercée par l’individu à qui il s’adresse.

 

 

Dans la mesure où le réseau détient peu ou pas d’information sur les événements de violence, le contexte favorise l’utilisation de tactiques de diversion et facilite la reconstruction des événements à l’avantage du dominant.

 

 

Lorsque les conséquences de rupture du lien et de sanctions n’ont pu être évités, les discours que tiennent les dominants face aux RPS sont fréquemment marqués par la victimisation et/ou la récusation de l’ex-conjointe.

 

Le dominant peut également tenter d’opposer la victime et ses réseaux de protection sociale en vue de déplacer le conflit.

 

 

Il s’agit de démontrer à la victime ou aux réseaux de protection sociale qu’il se sent incompris par ce tiers et pourquoi.

 

 

Un type de justification peut être efficace auprès de la victime sans l’être pour autant pour les réseaux de protection sociale (et vice versa).

 

 

Certaines victimes, qui ont intégré les justifications du conjoint, peuvent se positionner en sa faveur face aux réseaux, qui eux, ne se laissent pas influencer.

 

 

Dans le même sens, les réseaux de protection sociale peuvent intervenir directement, en alliance avec le dominant, pour amener la victime à normaliser l’abus de pouvoir.

 

 

Le réseau peut fournir des justifications différentes de celles qu’émet le conjoint dominant. Par exemple, un conjoint peut justifier le fait d’avoir craché sur sa conjointe par la provocation de cette dernière et l’entourage peut commenter l’événement par des phrases comme « il est impulsif » ou « il ne sait pas comment exprimer ses émotions ».

 

 

Ce faisant, il donne le rôle de victime à l’agresseur, lui procure de nouveaux outils, renforce son sentiment de légitimité. »

 

 

 

Quelles sont les justifications de l’agresseur par lesquelles il parvient à mettre tout le monde de son côté et à perpétuer ainsi la violence par acharnement judiciaire que l'institution ne réussit pas à stopper ?

 

Résumé.

 

 

Les justifications du manipulateur de couple

 

Elles font partie de son argumentaire pour éviter la condamnation par les tribunaux, la perte de la garde de ses enfants, le discrédit social et parfois pour obtenir la condamnation de la victime. 

Le plus étonnant est que cette technique fonctionne alors que nous sommes au 21è siècle et pas dans des âges reculés de l'Histoire de l'humanité !  

 

- Justifications de genre : la victime est responsable de l’agression car elle n’a pas rempli son rôle social d’épouse et de ménagère parfaite. C’est une vision standardisée de la femme : le dominant distribue les rôles et la femme doit obéir comme une esclave.

 

- Justifications de nature : l’abus est lié à la nature masculine irrépressible, par exemple le besoin d’affirmation virile de l’homme, ses pulsions sexuelles incontrôlables de mâle, son caractère aventureux, son orgueil blessé parce que sa femme gagne plus d’argent que lui ou fait une meilleure carrière etc. Il faut alors plaindre l’homme qui souffre car il a été atteint en tant qu’homme dans sa nature profonde par une femme dominatrice, castratrice et qui ne fait pas d’efforts pour accepter la vraie nature masculine de son conjoint.

 

 

- Justifications de système : l’abus n’existe pas, puisque la victime n’a pas obéi à Dieu, à la religion ou à la tradition en ne faisant pas son devoir d’épouse et de mère, le ménage impeccable ou le « devoir conjugal » par exemple. L’agresseur n’a fait que « corriger sa faute » car il en a le droit. Dans cette vision, la femme doit obéir à son mari en vertu de principes supérieurs, philosophiques ou religieux. L’homme s’arroge un droit d’obliger la femme à faire son devoir et à être parfaite. Il se positionne en juge moralisateur.

 

 

- Justifications de provocation : l’abus est la faute de la victime, il y a inversion de responsabilité car la victime a fait quelque chose qui a provoqué l’agression. Par exemple : elle a parlé à un autre homme, elle a refusé un rapport sexuel, elle a demandé le divorce, elle tenu tel ou tel propos… Elle a donc ainsi déclenché le passage à l’acte. Elle s’est mise en danger. A elle d’en assumer les conséquences ! 

 

 

- Justifications de récusation : par accusations mensongères, la victime n'est pas crédible et n’a pas de valeur. Elle est dépressive, folle, alcoolique, elle se prostitue... Pourquoi les RPS devraient-ils même songer à la protéger ? C’est le conjoint dominant qui est à plaindre car il doit la supporter. Pas étonnant que ce pauvre monsieur craque. L’agression et les préjudices subis sont banalisés.

 

 

- Justifications de victimisation : les abus et la violence ne sont pas de la faute du conjoint dominant qui possède au fond une nature bonne. Ils sont ainsi excusables. Les abus proviennent de facteurs qu’il ne contrôle pas. Il a eu une enfance malheureuse, il est dépressif parce qu’elle est enceinte, il ne s’aime pas lui-même, il n’a pas appris à exprimer ses émotions, il a perdu son travail… Le manipulateur devient victime d’un contexte au même titre que la victime. Sans ce contexte, il ne se serait pas passé tout ça.

 

D’autres techniques de communication toxique sont aussi employées par le manipulateur : il va faire diversion pour déplacer le débat sur un autre terrain. 

 

 

Les tactiques de diversion du manipulateur

 

 

 

- La dénégation : nier les faits jusqu'à ce que même la victime ne sache plus s’ils se sont vraiment produits. C’est une tactique basée sur la mauvaise foi. Mensonge, silence, amnésie sélective, changement de sujet sont utilisés. La victime doit prouver l’agression. Le conjoint dominant essaie de rendre l’agression imaginaire.

 

 

- La minimisation : le conjoint dominant banalise ses actes. L’agression est présentée comme un conflit de couple, une simple dispute…

 

 

- L’attrition ou faux repentir du conjoint violent donne à la victime la tâche d’être soi-disant noble et de pardonner. Elle doit donner l’absolution au conjoint violent qui en profitera pour récidiver. La victime qui refuse la réconciliation est présentée comme une femme méchante, et mauvaise qui alimente le conflit. Il faut donner une seconde chance au conjoint violent. Celui-ci réaffirme son amour avec pleurs, sanglots, promesses et autres exagérations théâtralisées qui sont une supercherie.

 

Toutes ces techniques de base sont souvent accompagnées de techniques supplémentaires du conjoint manipulateur pour négativiser la victime et se valoriser soi-même plus encore.

 

C’est le travail de coaching de Sophie Soria-Glo de démonter ces méthodes de communication malhonnête envers la victime, son entourage et l’institution judiciaire afin de rétablir la vérité.

Déjouer la communication perverse du conjoint manipulateur permet de le vaincre en Justice et de stopper son acharnement judiciaire. 

 

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